Contribute to An Innovative Civic Media Hub

CIMA Board of Directors
CHUO – part of the Centre for Independent and Media Arts (CIMA) – is seeking new board members

CIMA–a social enterprise–comprises an independent radio station, a civic media lab, and a creative agency.

Here is where you can make a difference as a volunteer board member.

Time commitment: 5-8 hours a month

Why join the Board of Directors of the Centre for Independent Media & Arts?

You will be part of a team providing governance and leadership to an award-winning social enterprise that runs an independent radio station that uncovers the best of Ottawa-Gatineau’s arts and culture, and creates some of the most creative, engaging and relevant radio in town. We are in the midst of a shift to increase financial stability and better serve our community. 

Benefits include:

  • Contributing to the sustainability and growth of a burgeoning arts hub that serves a diverse community. 
  • Meeting and collaborating with others who are interested in local arts and culture.
  • Shaping the work of our organization toward a full-service civic media training hub.
  • Networking within the community and across industries.

What is the role of the board?

Board members provide strategic leadership and direction and support to CIMA’s activities. They approve the strategic plan, oversee and evaluate the plan’s success, ensure the financial viability of the organization, provide fundraising leadership, and enhance the organization’s public image. Members will serve as ambassadors, creating opportunities and nurturing relationships in support of strategic objectives.

What are the responsibilities of board members?

  • Active participation in and preparation for and at board meetings.
  • Organizing and facilitating the AGM.
  • Listening to the station and participating in events.
  • Attending governance training and keeping apprised of ongoing practices. 
  • Fundraising and relationship-building. 
  • Staying informed about the center and relevant issues. 
  • Fiduciary responsibilities including reviewing the organization’s annual financial statements, approving the annual budget, and reading monthly financial reports.
  • Representing the organization at events and in the community as approved by the board.

What is the time commitment?

This is a two-year position with an average time commitment of 5-8 hours per month. Board members attend bi-monthly meetings, which last on average 1.5 hours. Other time is spent staying informed via staff and committee reports as well as through relevant policy and social updates.

What skills and experience are we looking for?

  • Connection to Black, Indigenous, and POC Communities.
  • HR Expertise.
  • Organizational change experience.
  • Fundraising.

Being part of the Francophone community is an asset. 

The following would also be beneficial in a board candidate:

  • Prior experience on a non-profit board.
  • Familiarity with the Ottawa-Gatineau local arts community.
  • Readiness to support fundraising with ideas, contacts, opportunities, and experience.
  • Ability to read and understand financial statements and budget forecasts.
  • Strong communication and networking skills.
  • Success working with a diverse team.
  • Effective e-communication.  
  • Readiness to analyze and respond to a fast-paced social and political environment.

We encourage a diverse range of applicants. Our goal is to ensure representation of a variety of communities. Minimum age for board members is 18.

How can you apply?

Please send a CV and cover letter outlining your interest in contributing to the board to CIMA Change Lead and Station Manager, Erin Flynn [email protected]

Selected candidates will be contacted by the board. Thank you for your interest.

Un feu sacré pour honorer les enfants autochtones

Un feu sacré a été organisé le 28 juin sur la place Marion Dewar à l’hôtel de ville, en partenariat avec la Coalition autochtone d’Ottawa, pour rendre hommage aux enfants autochtones récemment trouvés.

Dans une note de service, Donna Gray, la directrice générale des services sociaux et communautaires a déclaré que c’était un lieu de guérison autochtone, où les gens pouvaient se réunir ou s’approcher seuls, prier, réfléchir, guérir, faire des offrandes et tisser des liens entre eux et l’au-delà.

Le jeudi 24 juin, La Première Nation de Cowessess a fait la découverte de 751 tombes non marquées près de l’ancien pensionnat indien Marieval en Saskatchewan, suite à la découverte de tombes non marquées à Brandon (Manitoba) et à Kamloops (Colombie-Britannique).

À la suite de l’annonce de la Première nation de Cowessess, les drapeaux de toutes installations municipales ont été mis en berne afin de rendre hommage aux enfants autochtones.

Alors que la fête du Canada approche, la direction générale des communications du patrimoine canadien pour le gouvernement du Canada avait ceci à dire : “avec les centaines de sites d’inhumation non marqués sur les terrains ou à proximité des terrains d’anciens pensionnats qui ont été récemment découverts, il est important que les Canadiens et les Canadiennes se rassemblent pour réfléchir au passé, pour réaffirmer notre engagement à tirer des leçons de notre histoire et pour parcourir le chemin commun de la réconciliation. Nous encourageons les Canadiennes et les Canadiens à en apprendre davantage sur les peuples et les communautés autochtones.”.

Bien que la ville ne soit pas l’hôte d’événements pour la fête du Canada, un concert virtuel de la fête du Canada et un feu d’artifice organisés par le ministère fédéral du Patrimoine canadien sont toujours prévus.

Ce jeudi 1er juillet, vous pouvez aussi joindre une marche organisée par des groupes communautaires locaux pour rendre hommage à toutes les vies autochtones perdues.

L’événement débutera à 11h30 au bâtiment des Affaires autochtones, situé au 10 rue Wellington.

La ligne d’assistance téléphonique Ligne d’écoute d’espoir offre une aide immédiate à tous les peuples autochtones du Canada. Ce service est disponible 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Vous pouvez appeler la ligne d’assistance gratuite au 1-855-242-3310 ou vous connecter au chat en ligne.

Si vous avez besoin de parler à quelqu’un, vous pouvez également contacter la Ligne d’écoute téléphonique des pensionnats indiens, qui est disponible 24 heures par jour, au 1-866-925-4419.

Voici un extrait audio de CHUO:

Le Conseil des écoles catholiques du Centre Est rend hommage aux finissants et finissantes

Un gala virtuel a eu lieu le mercredi 23 juin, pour rendre hommage aux finissants et finissantes de la 12e année du conseil des écoles catholiques du Centre Est.

L’événement peut se voir sur le site web du CECCE.

Comme l’an passé, le groupe humoristique franco-ontarien, Improtéine a animé le spectacle avec comme invitées : le rappeur Montréalias Fouki, l, Sarahmée, une artiste du Québec, ainsi que Le R Premier et l’humoriste, Rosalie Vaillancourt.

“On est content d’offrir une belle brochette d’artistes à nos élèves”, dit Jason Dupuis, le surintendant en éducation au CECCE.

Durant la soirée, il y avait des jeux interactifs avec des prix pour les élèves qui participent.

Cette semaine, chaque école du conseil organise aussi une soirée virtuelle, à part, pour la remise du diplôme et partage de discours.

Les écoles sont en suite responsables de la planification d’une séance photo, et auront un horaire où les élèves viendront à l’école individuellement avec leurs familles. “C’est une cérémonie individuelle pour célébrer la fin du parcours de nos élèves”, explique Dupuis.

Prochainement, le conseil s’organise pour l’année scolaire qui s’en vient après que le ministère de l’Éducation leur ont demandé de faire un lent retour à l’horaire temps plein. La réintégration de programmes d’arts et de sports études est également en marche. “On a bien hâte de reprendre dans un monde quasi normal l’an prochain, afin de recommencer à établir des contactes”, ajoute Dupuis.

Voici l’entretien de CHUO avec Jason Dupuis, le surintendant en éducation au CECCE:

Une étape de plus franchie pour la construction d’une nouvelle école à Arnprior

Le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE) a lancé le troisième processus d’appel d’offres pour la construction d’une nouvelle école élémentaire catholique francophone dans le secteur Arnprior.

Le ministère de l’Éducation (ÉDU) a donné l’approbation au CECCE avec un financement supplémentaire du programme des immobilisations pour ce projet.

L’école pourra entretenir 248 élèves ainsi qu’une garderie pour 49 enfants offerte à la communauté francophone de la région d’Arnprior.

“Entre Pembroke et Carleton Place, il n’y a pas d’école pour les francophones,” dit Marc Bertrand, le directeur de l’éducation au CECCE.

Avant de finaliser une date pour le début de construction, le conseil attend pour le résultat de l’appel d’offres.

Le CECCE a également un projet en cours pour une école secondaire à Kingston ainsi qu’une nouvelle école élémentaire dans le centre d’Ottawa, au Vieil Ottawa Est. Le bâtiment Deschâtelets qui est en collaboration avec la ville d’Ottawa, sera modifié pour la nouvelle école élémentaire et hébergera aussi un centre communautaire avec un foyer pour ainés au niveau supérieur.

Voici l’entretien de CHUO avec Marc Bertrand, le directeur en éducation au CECCE:

 

 

Université d’Ottawa : une première école de sciences pharmaceutiques en français

L’Université d’Ottawa a récemment annoncé qu’elle mettra sur pied la première école de sciences pharmaceutiques francophone. Cette école formera des pharmaciens qui pourront à l’avenir offrir des services en français pour les populations minoritaires francophones.

La mise sur pied du nouveau programme a débuté en décembre 2018 et il s’agit de la quatrième tentative de mise en place d’un tel programme de formation de pharmaciens à l’Université d’Ottawa. Il s’agit d’un programme de doctorat de premier cycle en pharmacie, qui s’étend sur une durée de quatre ans.

La Dre Manon Denis-Leblanc, médecin de famille et vice-doyenne aux affaires francophones à la faculté de médecine de l’Université d’Ottawa nous a confié lors de notre entrevue être très contente de la nouvelle.

Elle nous a expliqué que les quelques raisons de l’échec des trois premières tentatives sont d’ordre économique, car c’est très dispendieux de mettre sur pied un tel programme, et aussi d’ordre politique, car c’est très difficile de faire approuver ce genre de programme au niveau de la province.

Lorsque nous lui avons demandé si la décision d’accepter le programme avait un lien avec la pandémie de COVID-19, la Dre Denis-Leblanc nous a affirmé les propos suivants :


 

La Dre Denis-Leblanc nous a aussi expliqué que le métier de pharmacien a énormément évolué depuis ces dix dernières années, passant d’un rôle beaucoup plus passif à un beaucoup plus actif avec les patients. Ce qui nous permet de comprendre l’importance du rôle de ce métier et donc la nécessité d’offrir une formation capable de servir les populations francophones.

Parlant de l’importance d’un tel service pour la communauté, la Dre Denis-Leblanc a affirmé les propos suivants :

 

Bien que l’école existe, il n’y aura pas de programme ouvert en automne 2021, car, tout n’est pas encore prêt pour cela.  Mais, l’École des sciences pharmaceutiques de la faculté de médecine accueillera ses premiers étudiants en septembre 2023.

Voici l’entrevue intégrale avec la Dre Manon Denis-Leblanc :

Un webinaire pour soutenir les femmes entrepreneures noires francophones

Le portail de connaissances pour les femmes en entrepreneuriat (PCFE), du Diversity Institute de l’Université Ryerson et la Société Économique de l’Ontario organise le webinaire “La place de la femme entrepreneure noire et francophone en Ontario”.

Durant l’événement, il y aura des discussions autour des défis auxquels font face les entrepreneurs noirs francophones en matière de prise de décision, d’accès au financement et d’appui social. La rencontre a lieu ce jeudi 17 juin à 10h30 AM.

“Dans le cadre de cette initiative, on va travailler avec certains partenaires dans la société économique de l’Ontario qui est très intéressé par l’entrepreneuriat féminin,” dit Sabine Soumare, la directrice des communications et marketing au Diversity Institute.

Les participantes vont chercher des solutions aux obstacles ensemble et fournir des outils et ressources aux femmes entrepreneures francophones noires. La plupart du temps, les femmes de couleur qui cherchent à ouvrir une entreprise ont de la difficulté à trouver de l’aide financière, mais le racisme systémique est un autre grand obstacle qui entre en jeu.

“Très souvent, il y a des aides financières (que ce soit au niveau du gouvernement, ou d’autres aides financières) qui sont disponibles, mais qui ne sont malheureusement pas accessibles pour ces femmes,” explique Soumare.

La directrice d’Afropolitain Canada, Kelly De Fogain et Sabine Soumare seront les animatrices pour la présentation.

L’équipe du PCFE fait des recherches pour mieux comprendre la situation des femmes entrepreneures noires. Une mise à jour est aussi en cours, sur l’état des lieux de l’entrepreneuriat chez les femmes, comme un rapport de l’an dernier a révélé que la pandémie a été la cause de plusieurs répercussions.

Cliquez sur ce lien pour vous inscrire au webinaire.

Voici l’entretien de CHUO avec Sabine Soumare, la directrice en communication et marketing au Diversity Institute de l’université Ryerson:

L’art du graffiti avec Mique Michelle

Mique Michelle est une artiste de graffiti franco-ontarienne qui anime des ateliers en art visuel partout au Canada.

“Je trouve c’est vraiment la façon la plus sécure pour les minorités visibles et invisibles à pouvoir sensibiliser les gens a leur réalité,” explique Michelle à propos de l’art du graffiti.

Photo de l'École secondaire publique Gisele Lalonde – Murale et atelier sur la façon de mettre fin à l’appropriation culturelle. (Photo provenant de miquemichelle.com)

Photo de l’École secondaire publique Gisele Lalonde – Murale et atelier sur la façon de mettre fin à l’appropriation culturelle. (Photo provenant de miquemichelle.com)

Michelle a voyagé partout dans le monde pour pratiquer son art et maintenant conduit des ateliers pour créer de beaux projets avec des élèves à travers la nation.

Retour en 2018, Michelle et des élèves à Gisèle Lalonde ont créé une murale dans le cadre d’un atelier sur la façon de mettre fin à l’appropriation culturelle. “Ça donne un message que la vie de la personne (de la culture qui s’approprie) ou de la culture de la personne vaut moins que la tienne,” dit Michelle.

Les écoles sont fermées depuis plusieurs mois maintenant, à cause de la pandémie donc elle fait des animations virtuelles, encore plus qu’avant.

Basées sur ses animations dans les écoles, TFO et la compagnie de production Lopii fait un partenariat pour lancer la série de téléréalité “Couleur de Nord”.

Elle mettra en vedette Mique Michelle ou est-ce qu’on la verra travailler avec des enfants de différentes communautés pour créer des murales dans les espaces publics. L’émission se concentre aussi sur les communautés au nord du Canada, les histoires des participants et la réalité dont ils font face à, tous les jours.

Voici l’entretien de CHUO avec l’artiste graffiti, Mique Michelle:

Des conseillers municipaux d’Ottawa demandent le changement du nom de la promenade Macdonald

Trois conseillers municipaux de la ville d’Ottawa ont adressé une lettre au Premier Ministre Justin Trudeau. Dans leur lettre, ils ont demandé que soit retiré le nom de Sir John A. Macdonald de la Promenade de Commission de la Capitale Nationale, à la suite de la découverte de restes humains dans un pensionnat en Colombie Britannique.

Jeff Leiper, conseiller municipal de quartier Kitchissipi 15 et l’un des signataires de la lettre, nous a confié lors de notre entrevue avoir été choqué lorsqu’il a appris la nouvelle.

Lui, Catherine McKenney et Theresa Kavanagh ont demandé dans leur lettre adressée au Premier Ministre Justin Trudeau, de retirer le nom de Sir John A. Macdonald car, il est celui qui a instauré la politique des pensionnats pour les enfants autochtones au Canada. Jeff Leiper nous a expliqué qu’il s’agit d’un geste de soutien aux populations autochtones.

Parlant de la motivation de retirer le nom de Sir John A. Macdonald, monsieur Leiper a affirmé les propos suivants :

 

 

Les conseillers municipaux n’ont toujours pas reçu de réponse de la part du Premier Ministre mais, le CCN (Commission de la Capitale Nationale) leur a envoyé un message de remerciement pour leur lettre.

Jeff Leiper nous a aussi confié avoir reçu des messages venant de plusieurs, et certains de ses messages étaient contre le retrait du nom de Sir John A. Macdonald. Pour eux, il s’agirait d’un acte visant à effacer une partie de l’histoire canadienne, ce dont réfute le Conseiller Leiper.

Il nous a expliqué son refus en ces termes :

 

 

Voici l’entrevue intégrale avec le Conseiller Jeff Leiper :

Békane Cycles organise une journée en vélo pour la fête des Pères

BekaneCycles et son groupe durant une randonnée. (Photo: BekaneCycles)

BekaneCycles et son groupe durant une randonnée. (Photo: BekaneCycles)

BékaneCycles (BC), une initiative lancée par Pascale René invite les résidents d’Ottawa à se joindre pour une balade à vélo en famille durant la fête des Pères, pour la deuxième fois cette année.

La randonnée aura lieu le samedi, 19 juin dès 10h du matin, et le lieu de rencontre est à la promenade Sir-George-Étienne-Cartier.

Le groupe veut que le public reste conscient et suivent les conditions sanitaires COVID-19 telles que, la distanciation sociale et le port de masque.

René et son groupe organisent cette activité pour célébrer les pères, “C’est une façon aussi de motiver les gens à sortir et faire du sport”, dit René.

N’importe qui est invitée, pas juste les papas et leurs enfants, mais les oncles, tantes et aussi les mères.

Passionné par le cyclisme, René s’est acheté un vélo fixie et a organisé son premier rassemblement l’an dernier, pour encourager le monde à rester actif pendant la pandémie. “Juste moi en faisant autant de vélo, j’ai inspiré plusieurs hommes noirs. Mes amis qui ne faisaient pas de vélo, ils ne faisaient pas de sport, mais à cause de moi ils sont entrés dans le sport et on a commencés à faire du vélo ensemble” explique René.

À part du rassemblement annuel pour la fête des Pères, BC collabore avec Expo Vélo, (qui est une même sorte d’initiative) chaque vendredi pour des promenades communautaires à vélo. Les groupes vont se rencontrer au

Dépliant pour l'événement du 19 juin. (Photo: instagram @bekanecycles)

Dépliant pour l’événement du 19 juin. (Photo: Instagram @bekanecycles)

Parc Major’s Hill dès 18h30 et partent vers 19h00 à partir de ce 18 juin.

L’an prochain, en espérant que la pandémie prendra fin, BC espère recevoir du support financier de la part de la ville d’Ottawa, pour faire des promenades communautaires à vélo en grand nombre.

En ce moment, BC fait une transition d’un blogue à une entreprise. Ils auront un site web où est-ce qu’ils pourront vendre des marchandises et ils planifient des levées de fonds pour aider les parents qui ont de la difficulté à procurer des bicyclettes pour leurs enfants.

Voici l’entretien de CHUO avec Pascale Rene, le fondateur de Békane Cycles:

 

 

 

 

 

Des murs antibruits sont en cours de construction pour les résidents d’Orléans

La ville d’Ottawa, en partenariat avec la compagnie d’ingénierie KEV, est responsable de la construction de l’étape 2 du train léger, et des quatre murs antibruits qui sont en vois de construction le long du corridor nord de l’autoroute 174;

  • Entre le boulevard Jeanne d’Arc et le chemin Tenth Line
  • Entre le boulevard d’Orléans et le ruisseau Bilberry
  • À l’ouest du chemin Tenth Line
  • Entre le boulevard Jeanne d’Arc et le boulevard d’Orléans
  • Entre le ruisseau Bilberry et le parc-o-bus d’OC Transpo Orléans

Les murs antibruits vont être des écrans pour protéger les résidents des bruits provenant de l’autoroute 174 et aussi de la construction de l’étape 2 du train léger.

Une portion de l’argent du projet de l’étape 2 du train léger d’OC Transpo a été investie pour bâtir ces murs antibruits.

“C’est une de nos priorités parce que, la construction maintenant, ça fait beaucoup de vibration et puis aussi beaucoup de bruit, et c’est des demandes historiques dans notre communauté.” Explique Mattheuw Luloff, conseiller municipal d’Orléans.

La construction a commencé ce 1er juin et selon Luloff, la construction des quatre premiers murs sur le côté EST devrait être terminée par la fin de cette année.

Il y aura une fermeture du sentier polyvalent entre le ruisseau Billberry et le parc-o-bus Orléans d’OC Transpo. Une déviation du sentier polyvalent le long de la promenade Billberry et du parc Joe Jamieson sera accessible pendant la fermeture. La signalisation sera visible et les piétons et cyclistes devront redoubler de prudence lorsque des déviations seront mises en place.

Il y aura éventuellement neuf murs antibruits au total.

Voici l’entretien de CHUO avec le conseiller municipal d’Orléans, Matthew Luloff: